Les analyses le montrent, le long-courrier constitue l’essentiel des émissions de carbone du secteur aérien et si le court et moyen courrier permettra d’introduire plus rapidement de nouvelles technologies décarbonées, il est indispensable de développer des technologies appropriées pour réduire drastiquement les émissions de carbone fossile par les vols intercontinentaux, pour lesquels il n’existe pas vraiment d’alternative terrestre crédible. Ces solutions peuvent aussi s’appliquer au court et moyen courrier pour accélérer leur décarbonation comme vient de le démontrer Air France.
En avril, la compagnie aérienne française a lancé le programme Air France ACT afin d’atteindre ses objectifs de réduction de 30 % de ses émissions de CO2 par passager et kilomètre par rapport à 2019.
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