L’avionneur et les sept pays de lancement de l’appareil de transport militaire A400M ont signé un premier accord prévoyant de revoir le plan de livraisons, mais Airbus doit encore provisionner des charges pour faire face aux retards.
L‘A400M semble enfin aller vers une sortie de crise avec les pays clients, mais le chemin sera encore long avant que les problèmes soient résorbés. En publiant un communiqué de presse le 7 février, Airbus a voulu donner des gages aux investisseurs, une semaine avant la publication de ses résultats financiers.
Le groupe aéronautique a annoncé la signature d’une « déclaration d’intention » avec les sept pays de lancement de l’avion, dont six (France, Allemagne, Espagne, Luxembourg, Royaume-Uni, Belgique) sont réunis au sein de l’Occar (Organisation conjointe de coopération en matière d’armement). La Turquie, de son côté, est associée au programme au sein de l’Occar.
Cet article compte 490 mots.