Les deux grands avionneurs mondiaux Airbus et Boeing sont confrontés à un rapport défavorable entre commandes et livraisons. Ce « book-to-bill ratio » est trop faible chez l’Européen qui engrange peu de nouveaux contrats, et trop élevé chez l’Américain qui ne parvient pas à livrer.
Airbus est en avance sur son programme de livraisons par rapport à l’an dernier, mais il devra néanmoins accélérer d’ici la fin de l’année pour atteindre son objectif de 600 avions livrés en 2021. Le géant européen traverse en revanche un trou d’air en termes de commandes, signe que les perturbations continuent de se faire sentir dans l’aérien en raison de la pandémie de Covid-19.
La situation est inverse chez Boeing, dont les commandes sont reparties de l’avant depuis le retour en vol du 737 MAX en décembre 2020. Mais l’Américain est entravé par les problèmes de production rencontrés sur le 787, dont les livraisons ont été quasiment à l’arrêt depuis près d’un an.
Cet article compte 580 mots.
[…] Les deux grands avionneurs mondiaux Airbus et Boeing sont confrontés à un rapport défavorable entre commandes et livraisons. Ce « book-to-bill ratio » est trop faible chez l’Européen qui engrange peu de nouveaux contrats, et trop élevé chez l’Américain qui ne parvient pas à livrer. Airbus est en avance sur son programme de livraisons par rapport à l’an dernier, mais il devra néanmoins accélérer d’ici la fin de l’année pour atteindre son objectif de 600 avions livrés en 2021. Le géant européen traverse en revanche un trou d’air en termes de commandes, signe que les perturbations continuent de se faire sentir dans l’aérien en raison de la pandémie de Covid-19. La situation est inverse chez Boeing, dont les commandes sont reparties de l’avant depuis le retour en vol du 737 MAX en décembre 2020. Mais l’Américain est entravé par les problèmes de production rencontrés sur le 787, dont les livraisons ont été quasiment à l’arrêt depuis près d’un an. Cet article compte 580 mots. […]