Airbus rattrape ses retards de l’an dernier et pense toujours être capable de livrer 800 appareils – hors A220 – d’ici la fin de l’année. Cela relèvera néanmoins du défi en raison des retards persistants dans la livraison des moteurs pour sa gamme de monocouloirs A320neo. Longtemps attendue, la montée en puissance de l’A350 vient soulager la filière des gros porteurs, particulièrement malmenée en 2017.
L’action d’Airbus a bondi de 5 % dans la foulée de l’annonce de ses résultats semestriels. Les investisseurs ont été particulièrement surpris de voir le flux négatif de trésorerie avant fusions et acquisitions passer de 824 M€ à 129 M€ alors qu’ils s’attendaient à une poursuite de la dégradation.
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