L’avionneur canadien, rejeté par Airbus depuis plus de dix ans, va désormais s’appuyer sur ce nouveau grand actionnaire pour permettre au CSeries de s’imposer sur ses marchés.
Bombardier a jeté le gant pour sauver son avion. Après des années d’un feuilleton chaotique, qui a néanmoins permis la naissance d’un avion innovant, les Canadiens ont finalement vendu la majorité du programme à Airbus. L’ironie est cruelle, alors que l’avionneur européen avait refusé, il y a dix ans, de prendre part au développement, puis avait maintes fois déclaré que le Cseries n’aurait jamais de marché.
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