Avec son premier satellite géostationnaire, l’Algérie s’offre de nouvelles capacités pour des applications de développement civil et de renforcement militaire.
Article mis à jour le 12 décembre.
Appliquant à fond sa « diplomatie du satellite » auprès des pays susceptibles de l’approvisionner en matières premières, la Chine a placé le 10 décembre sur une orbite de transfert supersynchrone le satellite de télécommunications AlComSat 1 pour le compte de l’Agence spatiale algérienne (Asal).
Il doit effectuer cinq manœuvres jusqu’au 16 décembre pour circulariser son orbite avant de rejoindre sa position opérationnelle à 24,8° Ouest, au-dessus de l’océan Atlantique.
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