Le groupe canadien Bombardier pourrait se séparer d’une de ses dernière divisions, ferroviaire ou avion d’affaires. Des annonces auront lieu lors de la publication des résultats annuels le 13nbsp;février.
Que restera-t-il de Bombardier à la fin de l’année 2020 ? Ex-fleuron de l’industrie québécoise, le groupe est en train de négocier la vente d’une de ses divisions historiques.
Le groupe de Montréal est encore actif dans trois entités : la division Transport, la plus grande, qui représentait en 2018 un chiffre d’affaires de 8,9 MdUS$, avec 40 000 salariés. La division Avions d’affaires, avec 5 Md$, était la plus rentable. Et il reste encore au groupe sa participation de 34 % dans la SCAC, l’entreprise qui gère désormais l’avenir de l’A220, l’avion développé par Bombardier sous le nom de CSeries.
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