Naguère à la pointe de la propulsion spatiale électrique – principalement plasmique – hors d’Union soviétique, l’industrie spatiale française a contribué à la diffusion à l’Ouest de la technologie des moteurs Fakel mais a joué plusieurs fois de malchance pour placer ses propres produits. À l’heure de la percée du « tout électrique », les moteurs russes, américains et bientôt chinois, voire indiens apparaissent sur le marché. Tandis que Safran continue de chasser sur le marché géostationnaires des start-up offrent des solutions pour les cubesats et les constellations.
- Une si longue gestation
- Les premières livraisons du PPS-5000 auront lieu en décembre
- Micropropulsion : des start-up à pleine poussée