« Nous voulons créer un nouveau modèle économique pour l’industrie. »
Avec une flotte de 53 satellites géostationnaires à laquelle il faut ajouter les douze de la constellation O3b, et un endettement trois fois plus faible que son rival Intelsat, SES peut prétendre au titre de premier opérateur mondial dans les télécommunications spatiales. Son P-DG Karim Michel Sabbagh a répondu aux questions d’Aerospatium.
Cette version de l’entretien publié le 7 septembre a été revue et amendée par SES.