Futures technologies et modèles économiques innovants étaient au menu de la conférence annuelle sur la sécurité de l’Agence européenne de la sécurité aérienne (Easa). Celle-ci se tenait à Bratislava (Slovaquie), du 24 au 26 octobre. Parmi les sujets abordés, la question de la fabrication additive (ou impression 3D) était au cœur des débats. Pour faire face à la propagation de cette nouvelle méthode de production dans les divers éléments de vol des avions commerciaux, notamment les moteurs, l’autorité de certification se doit d’être prête. Elle doit ainsi être à même de garantir la sécurité des pièces en impression 3D sans nuire aux modèles économiques des industriels européens les utilisant.
Cet article compte 790 mots.
[…]
Ce contenu est réservé aux abonnés. Se connecter S’abonner
