C’est un fait : le trafic intérieur français n’a pas retrouvé son niveau d’avant-Covid. Entre les politiques flattant les écologistes radicaux et la découverte de la visioconférence, les vols domestiques ne représentent en 2024 que 70 % de ceux de 2019.
À Toulouse, le nombre de voyageurs est passé de 2 millions à 1,8 million par an. Easyjet en tire les conséquences, en annonçant lors d’un comité social et environnemental (CSE), le 10 septembre, la fermeture de sa base de Toulouse.
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