L’École nationale de l’aviation civile (Enac), école d’ingénieurs et de pilotes, revendique son rôle de « soft power » et veut continuer à étendre sa présence, et celle de la France, à l’étranger.
Les dirigeants de l’École nationale de l’aviation civile l’ont avoué sans détour lors d’un déjeuner organisé avec la presse à Paris, le 9 décembre : l’Enac a vocation à aider l’industrie européenne, et plus particulièrement française, à s’exporter. Avec 100 pilotes formés chaque année et 22 000 anciens élèves souvent prestigieux –
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