Avec la multiplication prévue des activités à la surface de la Lune et dans son environnement proche, des besoins d’infrastructures vont se faire sentir, notamment pour les télécommunications – dans le domaine lunaire et vers la Terre – ainsi que pour la navigation. L’ESA y voit un possible nouveau marché sur lequel les industriels européens pourraient se faire une place s’ils s’y prennent suffisamment tôt. Des contrats d’études pour une constellation ont donc été confiés le 20 mai à deux équipes industrielles, menées respectivement par SSTL (Surrey Satellite Technology Ltd) au Royaume-Uni et par Telespazio en Italie, qui vont chacune à sa manière proposer une solution au problème.
Le montant des deux contrats, estimé à quelques millions d’euros, n’a pas été divulgué.
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