Afin de dégager un fonds de 10 Md€ pour capitaliser des startup, le gouvernement Philippe a choisi de vendre ses parts chez de grands industriels, quitte à changer l’équilibre des forces.
Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a attendu d’être en Italie pour confirmer la vente de participations de l’État. Alors que le gouvernement a choisi l’option de la nationalisation temporaire des Chantiers de l’Atlantique pour négocier plus efficacement sa place en cas de reprise majoritaire par l’armateur italien Ficantieri, les mêmes ministres et le président sont désormais tout prêts à laisser filer des participations stratégiques et rémunératrices dans les mains d’actionnaires privés.
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