Pour son troisième vol, le lanceur Alpha de Firefly Aerospace ne s’est pas contenté de réaliser sa première mission sans anomalie, il a relevé le défi avec un préavis très court, pour démontrer la résilience et la réactivité de l’accès à l’espace du Pentagone.
L‘objectif était de réussir à placer un satellite sur orbite avec un préavis de 24 heures. Firefly Aerospace a presque réussi à y parvenir, puisqu’il lui a tout juste fallu 27 heures pour satelliser la charge Victus Nox de l’US Space Force à l’aide de son lanceur Alpha, dont ce n’était que le troisième vol. À la décharge de Firefly Aerospace, le décollage a dû attendre la première fenêtre de lancement possible pour atteindre l’orbite visée, héliosynchrone à 476 x 531 km et phasée pour un passage de l’équateur à 18 h 04 locales.
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