La Missile Defense Agency (MDA) a choisi Lockheed Martin, associé à Aerojet Rocketdyne, plutôt que Northrop Grumman et Raytheon pour développer la nouvelle génération d’intercepteurs du système GMD (Ground-based Missile Defense) destiné à protéger le territoire des États-Unis contre des frappes balistiques limitées, telles que celles que pourraient mettre en œuvre un « État voyou » tel que la Corée du Nord.
Le marché, estimé à 17 Md$, vise à une entrée en service opérationnelle de ces NGI (Next Generation Interceptors) avant la fin de l’année discale 2028. Ils doivent remplacer les GBI (Ground-Based Interceptors), développés par Northrop Grumman, Raytheon et Boeing, déployés sur la base de Fort Greely, en Alaska.
Cet article compte 120 mots.