La politique complique l’équation de Starliner

Starliner
La capsule Starliner Calypso amarrée à l'ISS vue depuis la capsule Crew Dragon Endeavour. Crédit : Nasa.
La mauvaise réputation de Boeing, un phénomène technique mal cerné, un changement de paradigme politique et une abondance d’options : tels sont les principaux ingrédients du casse-tête auquel est confrontée la Nasa avec la mission toujours en cours de la capsule Starliner Calypso. Une décision sur la solution retenue pour le retour sur Terre de la capsule et de son équipage, ensemble ou séparément, devrait être prise fin août.

Le pataquès continue autour du vol de certification de la capsule Starliner de Boeing, qui a rejoint la Station spatiale internationale le 6 juin, 26 heures et 42 minutes après avoir décollé de Cape Canaveral, avec à son bord les astronautes de la Nasa Barry Wilmore et Sunita Williams, deux anciens pilotes d’essais de l’US Navy. Le vol vers le complexe orbital avait été émaillé de pannes sur des petits moteurs d’orientation et de fuites au niveau de vannes des circuits de pressurisation à l’hélium.

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