L‘ultimatum avait beau courir jusqu’à la fin du mois, la livraison par la Russie des premiers éléments de batteries anti-aériennes S-400 Triumf à Ankara, le 12 juillet, ont marqué un point de non retour dans les relations avec les États-Unis. La Maison Blanche a donc annoncé le 17 juillet qu’elle mettait un terme à la coopération de la Turquie au sein du programme F-35.
L’exécutif américain continue de présenter le système S-400 comme un moyen pour la Russie de récolter des données sur la furtivité du F-35. De son côté, l’état major turc rappelle que le système S-400 a déjà été déployé par la Russie en Syrie où opèrent également les F-35 américains et israéliens. Il estime donc que, si des secrets devaient être percés, cela aurait déjà eu lieu.
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