Nouveau petit lanceur américain et nouvel échec. Le Terran 1 de Relativity Space a bien décollé le 23 mars mais il n’a pas réussi à atteindre l’orbite. La start-up se réjouit néanmoins d’avoir démontré qu’une lanceur réalisé par impression 3D peut voler.
Relativity Space n’est pas parvenue à rompre la malédiction qui frappe les entreprises privées américaines du secteur des lanceurs : depuis 1990, aucune n’est parvenue à atteindre l’orbite à la première tentative. Le petit lanceur Terran 1, réalisé en grande partie par fabrication additive, n’a pas dérogé à la règle. Après une série de reports depuis l’été dernier et une première tentative de lancement avortée le 11 mars, il a décollé du complexe SLC-16 de Cape Canaveral le 23 mars à 03 h 25 TU pour une mission baptisée GLHF (« Good Luck, Have Fun »).
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