La responsabilité de Boeing dans l’incident spectaculaire survenu le 5 janvier sur un 737 MX9 a été confirmée par l’enquête officielle. Les écrous qui auraient dû maintenir la porte condamnée arrachée en plein vol étaient bien manquants.
L’enquête préliminaire du NTSB sur l’incident d’Alaska Airlines a confirmé que les quatre écrous permettant de sécuriser le panneau de porte du 737 MAX9 étaient absents lors du vol du 5 janvier dernier, ce qui a permis sa séparation du fuselage alors que l’avion se trouvait à 16 000 pieds (près de 5 000 m d’altitude).
L’absence de dommages liés à l’usure ou à la déformation « indique que les quatre boulons qui empêchent le mouvement vers le haut du panneau MED (mid exit door) étaient manquants », a indiqué le NTSB (National Transportation Safety Board) dans son rapport préliminaire publié le 6 février.
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