Avec le retrait de Northrop Grumman, on aurait pu croire que la compétition pour réaliser le futur avion d’entraînement T-X se réduisait désormais à un sempiternel affrontement entre Boeing et Lockheed Martin, mais l’outsider européen n’a pas jeté l’éponge malgré la défection de son partenaire Raytheon.
Le marché de 16,3 Md$ pour le remplacement des valeureux T-38 Talon de l’US Air Force et de l’US Navy avait alléché bien des industriels, mais au bout du compte, après la publication de l’appel d’offre final le 30 décembre dernier, plusieurs se sont retirés.
Parmi ceux-ci, Raytheon a fait part de son abandon le 25 janvier. Il s’était allié à Leonardo pour développer un T-100 sur la base du M-346 Master d’Alenia Aermacchi. Le groupe italien ne s’est pas démonté et
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