Go First trébuche sous le coup des tensions sur la chaîne d’approvisionnement aéronautique mondiale. La compagnie indienne à bas coûts s’est placée sous la protection de la loi sur les faillites en raison du manque de disponibilité de pièces de rechange des moteurs GTF de Pratt&Whitney (alias PW1000G), qui l’ont conduit à immobiliser la moitié de ses A320neo.
L’ex-Go Air exploite une flotte de 54 A320neo, exclusivement motorisés par P&W, mais la filiale de Raytheon Technologies ne parvient pas à répondre à la fois à la demande pour l’industrie et à celle de la maintenance en service en raison des perturbations que rencontrent les fournisseurs du motoriste, qui limitent la disponibilité des pièces.
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