Le centre de recherches a planché sur quatre scénarios possibles – allant du pétrole bon marché à la quasi-disparition de l’aviation commerciale – pour tenter de cerner les besoins de l’aviation de demain.
Antoine Guigon, directeur du Département de prospective aérospatiale de l’Onera, est honnête : il ne sait pas à quoi ressemblera le transport aérien en 2050, mais il essaye de le déterminer.