La nouvelle génération de satellites français pour le renseignement d’origine électromagnétique (ROEM) ne sera pas au rendez-vous en 2020 pour relever les démonstrateurs Elisa, lancés en 2011 et inaugurer une véritable capacité opérationnelle pour les forces armées françaises. Ce retard, qui faisait l’objet de rumeurs depuis mars dernier, a été confirmé le 1er octobre par Florence Parly, ministre des Armées, lors de son audition par les députés de la commission de la Défense dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances pour 2020.
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