Entre deux tirs de missiles de moyenne portée réalisés par l’Iran et la Corée du Nord, les États-Unis et le Japon sont parvenus à accomplir une nouvelle interception d’une cible simulant justement ce type de missile en approche.
Placé sous responsabilité de l’US Navy, de la Missile Defense Agency (MDA) et du ministère japonais de la Défense, l’essai SFTM-1 (SM-3 Cooperative Development Project Flight Test Maritime), était prévu pour le deuxième puis le troisième trimestre de 2016. Annoncé pour la fin janvier, il a dû être repoussé en raison des conditions météorologiques.
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