L’Ouzbékistan et le Kazakhstan envisagent de renouveler leur aviation de combat. Lors du passage du président français dans la région, les deux ex-républiques soviétiques ont exprimé leur intérêt pour le Rafale français. Le Kazakhstan a officiellement démenti le 30 novembre.
De passage à Astana et à Samarcande, les 1er et 2 novembre derniers, le président français Emmanuel Macron était surtout venu parler de relations bilatérales et de modernisation des économies des deux républiques d’Asie Centrale, accompagné d’un aréopage de dirigeants d’entreprises françaises. Au-delà des accords avec TotalEnergie, Suez ou Veolia, habitués de la région, un intérêt particulier a été porté à Dassault Aviation et à son Rafale, dans ces pays équipés essentiellement de matériel russo-soviétique vieillissant.
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