L’acquisition du F-35A par Berlin s’accompagnera bien de compensations industrielles. Le grand gagnant de ces offset devrait être le groupe Rheinmetall.
Le contrat de vente des F-35A à l’Allemagne n’est pas signé, mais les industriels des deux côtés de l’Atlantique prennent déjà position. Le 17 février, Lockheed Martin, maître d’œuvre du F-35, et Northrop Grumman, son principal sous-traitant, ont signé une lettre d’intention avec le conglomérat d’armement allemand Rheinmetall en vue de lui confier une nouvelle ligne d’intégration du tronçon central du fuselage du chasseur-bombardier furtif américain.
Cet article compte 960 mots.