L’UKSA, à la recherche de niches technologiques stratégiques à soutenir, et Rolls-Royce, en quête de nouveaux débouchés, vont étudier l’application du nucléaire à l’exploration spatiale.
En période de crise, il peut être tentant de se recentrer sur son cœur de métier ou d’aller chercher de nouveaux relais de croissance. Dans tous les cas, il ne faut pas abandonner la R&D. Alors que ses activités de motoriste aéronautique, déjà en difficulté, sont frappées de plein fouet par les effets de la crise pandémique sur le secteur, Rolls-Royce, fleuron de l’industrie britannique, se tourne vers l’espace.
Pour la première fois, l’industriel a reçu un contrat d’étude de la part de l’UKSA, l’agence spatiale du Royaume-Uni. Pour un montant non-divulgué, le motoriste va étudier des solutions nucléaires pour de futures applications dans l’exploration spatiale.
Cet article compte 330 mots.