La coopération militaire italo-japonaise ne devrait pas se limiter au GCAP (Global Combat Air Program) entrepris en partenariat avec les Britanniques. Rome étudierait l’achat de patrouilleurs maritimes nippons et Tokyo celui d’avions d’entraînement italiens.
Il n’y a décidément pas qu’en France que le renouvellement des capacités de patrouille maritime représente un défi. L’Italie, qui n’a certes pas de dissuasion nucléaire à protéger, doit néanmoins garder un œil sur une mer qui abrite de nombreux trafics, légaux et illégaux. Et pour cela, elle ne dispose que de quatre avions P-72A, c’est-à-dire des ATR 72 convertis en patrouilleurs maritimes, basés en Sicile.
Cet article compte 510 mots.
[…] Il n’y a décidément pas qu’en France que le renouvellement des capacités de patrouille maritime représente un défi. L’Italie, qui n’a certes pas de dissuasion nucléaire à protéger, doit néanmoins garder un œil sur une mer qui abrite de nombreux trafics, légaux et illégaux. Et pour cela, elle ne dispose que de quatre avions P-72A, […]