Une salve de missiles a encadré l’intronisation du nouveau président américain, la Chine, l’Iran et la Corée du nord ont testé de nouvelles capacités, auxquelles les États-Unis ont répondu par une démonstration de force.
L’augmentation de la capacité anti-missile américaine pour contrer les capacités balistiques de Téhéran et Pyongyang faisait partie des priorités du programme électoral de Donald Trump, mais aucune action significative de sa part n’a encore été rendue publique. Est-ce un hasard si l’Iran et la Corée du Nord ont effectué des démonstrations de leurs nouvelles capacités à peine quelques jours après son arrivée aux affaires ?
Cet article compte 1 150 mots.