La rencontre devait durer deux jours, mais entre les contraintes sanitaires imposées par le variant Omicron du Covid-19 et le calendrier bousculé par l’aggravation de la crise russo-ukrainienne, le Sommet spatial de Toulouse a été compressé en une seule journée. Ce qui aura été surprenant pour une rencontre ce type, c’est que les horaires ont été tenus, preuve que les débats ont été consensuels, sans crise majeure, ce qui est toujours une bonne nouvelle dans le concert des nations européennes, si promptes à faire valoir leur intérêt national à chaque fois qu’un engagement majeur doit être pris.
Il ne s’agissait toutefois que d’un sommet informel et aucune décision budgétaire ferme n’a été prise. Celles-ci seront au programme de la réunion du Conseil ministériel de l’ESA, en novembre à Paris.
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