Elon Musk a été très discret sur la question depuis qu’il a inauguré son site de conception et de production de satellites à Redmont, dans la banlieue de Seattle, en janvier 2015. Il avait alors présenté son projet Starlink de constellation de petits satellites à très haut débit comme un moyen d’engranger les sommes colossales qui seront nécessaires au financement de ses projets de colonisation de Mars. Ayant déposé auprès de la FCC (Federal Communication Commission) une demande de licence pour un système composé de 4 425 satellites en bande Ku et Ka sur orbite basse, il avait alors également promis de révolutionner la conception et la construction des satellites, à un degré encore plus important que ce qu’Airbus tente de réaliser à Toulouse pour la constellation OneWeb, qui ne doit compter « que » 900 satellites.
Cet article compte 345 mots.