Alors que la capsule Crew Dragon et la navette Starship attiraient tous les regards, SpaceX a commencé à ouvrir le service de connectivité à haut débit de sa constellation Starlink à des « bêta-testeurs » aux États-Unis, où il dispose de cinq stations terrestres actives pour connecter les satellites au réseau mondial.
Pour Elon Musk, il s’agit de démontrer les capacités de son système, en termes de débit et de temps de latence, afin d’apparaître comme un fournisseur crédible… et prétendre à une part des 20 Md$ de subventions que la FCC (Federal Communications Commission) doit distribuer pour la connectivité en zones rurales. Les volontaires pour tester le service ont bien évidemment signé des accords de non-divulgation, mais des chiffres ont commencé à « fuiter ».
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