Alors qu’Ariane 6 se fait attendre, le mois de février devrait voir décoller les successeurs du H-2A japonais et de l’Atlas 5 américain, avec une transition retardée par rapport aux plans initiaux mais néanmoins maîtrisée.
Victime d’un échec de son petit lanceur Epsilon en 2022, le Japon a commencé 2023 en plaçant sur orbite un satellite radar militaire, JSE-Rēda 7 le 26 janvier, sur un lanceur H-2A de Mitsubishi Heavy Industries. Moins de trois semaines plus tard, le 13 février, il doit enchaîner avec le premier vol de son nouveau lanceur, le H-3, qui remplacera le H-2A pour assurer l’accès autonome à l’espace du Japon.
Cet article compte 420 mots.