La production de carburant d’aviation durable (SAF) va tripler en 2024, mais elle ne représente encore qu’une part infime des besoins du transport aérien, selon l’Association du transport aérien international (Iata).
Les chiffres sont bons, mais ils sont encore loin d’être suffisants. En 2024, la production de SAF (Sustainable Aviation Fuel), c’est-à-dire de kérosène développé à partir du carbone atmosphérique (renouvelable) et non de carbone fossile (non-renouvelable), devrait atteindre 1,9 milliard de litres (1,9 million de m3 ou 1,5 million de tonnes), ce qui « représenterait 0,53 % des besoins en carburant de l’aviation en 2024 », estime l’Iata (Association du transport aérien international).
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